Cookut au Grand Café de la Terrasse

L’incroyable cocotte de chez Cookut, vous connaissez ? Chez Arte Diem, elle a un succès fou. Tout comme sa petite sœur, la poêle anti-adhésive. On est fan, nos clients aussi.
C’est le cas de Caroline Lambel, restauratrice au Grand Café de la Terrasse. Elle utilise l’une et l’autre pour la maison, mais aussi au restaurant… c’est dire la qualité ! Allez, on vous raconte un peu…

Brève histoire d’une restauratrice pas comme les autres

Caroline Lambel baigne dans le milieu de la restauration. Ses grands-parents tiennent une brasserie, passage du Havre à Paris, à deux pas de Saint-Lazare. Quand Caroline obtient le bac, le restaurant est vendu, à sa grande déception : elle doit faire des études avant toute chose, et à l’époque, on a encore du mal à considérer une femme à la tête d’un restaurant. Elle poursuit ses études, puis oriente sa carrière vers la finance, où elle travaillera pendant douze ans. En 2007, ses deux frères achètent à Morlaix une belle brasserie comme on n’en voit (presque) qu’à Paris, le fameux Grand Café de la Terrasse. C’est un projet ambitieux, ils appellent leur grande sœur à la rescousse pour que la Terrasse devienne une histoire familiale. Au début, ce n’est que pour de la gestion, de la compta, du conseil, mais rapidement, Caroline se retrouve derrière les fourneaux. Elle voit enfin sa vraie passion se révéler. Elle occupe tous les postes les uns après les autres, elle est passionnée, elle a soif d’apprendre et elle a de l’ambition : celle de proposer du « fait maison », du « frais », des plats traditionnels aussi, parce que cela répond admirablement au lieu.
Aujourd’hui, elle est seule à la tête de cette institution morlaisienne, elle aime toujours réinventer sa cuisine, la faire vivre aussi.

L’incroyable cocotte

Si nous, on adore aller déjeuner à la Terrasse, Caroline est aussi une cliente très fidèle d’Arte Diem. Un jour, elle a passé la porte du magasin, elle est repartie avec une cocotte de chez Cookut. La fameuse « incroyable cocotte ». Elle porte sacrément bien son nom à en juger la manière dont Caroline nous la décrit : » Je suis vraiment une fan inconditionnelle de cette petit cocotte, d’ailleurs, je l’offre à mes proches dès que j’ai l’occasion de faire un cadeau. Je peut-être un peu obsessionnelle parfois, j’en ai acheté au moins cinq ou six chez Arte Diem ! » (rires).
Pourtant, au départ, c’est le design et la couleur qui ont attiré Caroline : le rose, elle adore ! Et puis, cette cocotte s’est clairement affranchie du poids démesuré des cocottes traditionnelles en fonte. C’est un argument de taille.
« Au départ, je n’étais pas sûre de mon achat, mais dès la première utilisation, j’ai compris que cet outil était vraiment fabuleux, ça n’accroche pas, ça se nettoie en deux temps trois mouvements, le temps qu’on gagne, on peut le consacrer à autre chose, c’est important au boulot comme à la maison. »

Et la fameuse poêle anti-adhésive alors ?

« On l’utilise en salle pour flamber nos crêpes suzettes, c’est un vrai succès ! Ça fait vivre le lieu, et puis avec la crêpe suzette, le flambage, c’est toujours un peu impressionnant ! Ce petit spectacle fonctionne admirablement avec la poêle Cookut. »

La recette de Caroline pour réaliser des crêpes suzette

Préparez votre pâte à crêpe selon vos habitudes, pensez à bien la laisser reposer avant de cuire vos crêpes.
Cuisez vos crêpes à l’avance et réservez-les.
Préparez votre sauce : il s’agit de faire un caramel brun clair en mélangeant du beurre et du sucre (pour 4 personnes, 3 cuillères à soupe de sucre en poudre + 50 g de beurre).
Déglacez votre caramel avec 130 g de jus d’orange (l’équivalent d’une orange pressée), puis faites réduire.
Délayez de la fécule de maïs (l’équivalent d’ 1/4 de cuillère à café) dans de l’eau froide et ajoutez à la sauce.
Ajouter une cuillère à soupe de Grand Marnier et quelques écorces d’orange dans la sauce.
Faire revenir votre crêpe dans la poêle Cookut, ajouter quelques cuillères de votre sauce, flambez, c’est parti !
Bon appétit !